Compte rendu de la visite

À 9 H 45 Ghislain de la Gâtinais accueillait les 26 membres présents au pied de la tour Bretagne.
Peu après, il nous a annoncé qu’en plus de ses activités classiques, il était devenu conférencier au sein du CCO. Toutes nos félicitations Ghislain.
La visite du jour consistait à découvrir le CCO, son rôle, son fonctionnement; son réseau.
Le CCO – Centre de Communication de l’Ouest-
Créé en 1983, le CCO célèbre en 2008 son 25ème anniversaire et inaugure ses nouveaux espaces conçus autour d’une plate-forme multimédia de promotion des acteurs du territoire, entreprises, institutions et collectivités.Aux origines de celui-ci, il y a un site emblématique, au cœur de Nantes – la Tour Bretagne – et la vision de deux hommes, Gilles Bouyer et Jean Amyot d’Inville.
Ce centre accueille aujourd’hui 50 000 visiteurs par an, avec un CA d’1M€, côtoie plus de 400 membres et occupe 10 salariés. Les ressources proviennent à 70% de l’activité générée par la vente de prestations de services (promotion des entreprises, conseil et production d’événements, location de salles, club d’affaires…) et à 30% par les subventions de 3 collectivités (10% Nantes Métropole / 10% Conseil Général de Loire Atlantique / 10% Conseil Régional Pays de Loire).
Les années 2000 marquent un tournant dans l’histoire du CCO. Il se développe en créant le réseau « les 1000 de l’Ouest », association interrégionale réunissant 4 500 professionnels de la communication, du marketing et des médias du Grand Ouest. En 2004, toujours dans cette dynamique de synergie, le CCO inaugurera son « Club d’affaires » qui fédère aujourd’hui plus de 980 acteurs économiques de la région et est reconnu comme un des clubs d’affaires les plus dynamiques de France.
En septembre 2008 après huit mois de travaux de modernisation, le Centre de Communication de l’Ouest ouvre ses portes sur des espaces métamorphosés. L’objectif du CCO est de devenir « LA » porte d’entrée de l’Ouest. Il a été conçu autour de 17 univers représentant les grandes filières économiques. Pour chacune des entreprises et des collectivités rattachées, le CCO propose une mise en scène de leurs activités autour d’interviews vidéo et de présentations dynamiques.
Les objectifs du CCO sont triples: promouvoir les entreprises régionales, créer un espace de rencontres en fédérant les médias et les communicants locaux : le Club d’affaires du CCO avec 982 membres
t la situation actuelle de l’économie régionale en se référant aux événements marquants de l’histoire, de la géographie et aux diverses circonstances économiques qui ont permis à la ville de Nantes de se développer et de se positionner au niveau national.
Tout au long de la matinée, Ghislain a fait le lien entre les visites précédentes
Souvenez-vous de la première visite : le jardin des Plantes, chaque nouveau plant qui arrive des pays lointains est étudié. A cette époque, quelques idées industrielles commencent à germer et à se mettre en place (Stanislas Baudry avec ptremier omnibus qui deviendra…le futur tramway et d’autres pionniers). Ensuite la visite n°4 du port et des quais, la construction navale, les industries qui se développent, les activités portuaires, quelques familles qui ont marqué le paysage industriel local.
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Nous avons retrouvé les Namnètessur l’axe Vannes – Poitiers qui se fixent à Nantes.
C’est le roi qui nomme le maire de la ville et Henri IV n’a pas oublié les réticences nantaises… En 1598, Nantes perd son rôle administratif qui va être transféré à Rennes.
Nantes est une ville marchande car c’est un port et « elle respire le commerce » (on y retrouve notre précédente visite n° 4 sur les quais : le port et ses activités multiples, les immeubles de rapport, les importations et les produits nouveaux).
Notre conférencier a très bien situé les nombreux événements qui ont marqué les 16eet 17esiècle. Il nous a rappelé les ennuis de Law, la nécessité d’avoir des banques, le rôle de la Compagnie des Indes orientales, en insistant particulièrement sur la naissance de l’industrie locale au 18esiècle.
A cette époque, Nantes se hisse en tête des ports français. Il doit son succès au commerce triangulaire et au trafic des denrées coloniales en provenance des Antilles. A la fin du siècle cependant, ce modèle est confronté à des facteurs de déclin : guerres de Vendée, blocus continental, envasement du fleuve. L’abolition de l’esclavage, en 1848, entraîne un changement total de modèle de développement.
Dans les années 1820, de nombreuses activités, parfois anciennes (minoteries, tanneries, imprimeries, papeteries, chantiers de construction navale) vont prospérer grâce aux progrès scientifiques et techniques de l’industrialisation. Des effets d’entraînement induisent l’émergence d’autres branches d’activités initiées par des innovations et des mutations dans les pratiques industrielles : la conserverie, les biscuiteries, les savonneries, la chimie des engrais, le machinisme agricole, le fer-blanc. Tous ces secteurs et ces savoir-faire font l’originalité du modèle ligérien.
Les nécessités de financer toutes ces activités ont vu la mise en place de la bourse, de la banque et de la maison du change (qui deviendra plus tard la maison des apothicaires). D’autres opportunités de développement indissociables à la modernité ont vu le jour dans la Région : les relations sociales et humaines avec ses grèves dures, les premiers systèmes d’assistances et de mutuelles. La Région Ouest est restée pionnière en la matière.
Tous ces éléments, mis bout à bout, ont fait de Nantes l’espace industriel le plus important du Grand Ouest.
Cette ville, à la confluence de la Loire maritime et de la Loire fluviale, du Poitou et la Bretagne, va jouer un rôle économique très important. Les activités maritimes, le commerce, la finance, les métiers de l’alimentaire sans oublier les professions secondaires de cet environnement vont s’entrecroiser pour nous conduire vers l’économie régionale actuelle.
Deux expositions nationales des produits de l’industrie française auront lieu à Nantes en 1861 et en 1924 (la première ayant eu lieu à Paris en 1798). L’industrie et les progrès se font connaître au grand public.
Lors de la visite n° 4 du port et de Trentemoult, nous avons découvert les évolutions de la construction navale. Les bateaux en bois sont remplacés par le fer, le moteur remplace les voiles, la vapeur est utilisée dans toutes les industries. Il faut nourrir les équipages et la population qui augmente régulièrement. Les importations génèrent de nouveaux métiers et créent des produits » à la mode ».
Les accords avec les pays voisins se multiplient : la « contractation » entre les commerçants de Nantes et Bilbao en 1798. La suite actuelle correspond à la liaison Montoir – Vigo. L’utilisation de la Loire comme moyen de transport a correspondu à une nécessité durant des siècles. Oublié durant 100 ans, le transport fluvial va redevenir une nécessité (économie d’énergie, coûts). Aujourd’hui Airbus utilise la Loire pour les tronçons d’avions.
De nombreuses entreprises ont été citées, certaines ont plusieurs siècles d’histoire, d’autres sont récentes mais souvent il y a un lien entre l’implantation et l’activité actuelle.
Les activités maritimes
Histoire de la construction navale et L’âge d’or de la Navale
la construction navale 1, quelques navires locaux,construction navale 2
la construction navale du 16 au 19e siècle
Qui dit port dit activités maritimes, construction et réparation navale. La fonderie
INDRETfabrique des canons et des hélices depuis cette époque. En 1821 il y avait 2000 ouvriers sur ce site.
Les chantiers nantais ont su » naviguer » entre l’adaptation aux nouvelles techniques, innover des projets et des réalisations modernistes. Jetez un coup d’œil sur la visite 4 du blog et Atelier et chantier de la Loire, Chantiers Dubigeon,les chantiers de l’Atlantique et encore, Chantier Dubigeon.
Qui dit port dit également importations et exportations. Les deux flux ont été utiles à la ville de Nantes et à la Région.
Les importations
A cette époque, Nantes est le deuxième port baleinier de France . (voir annales Nantes) . Cela va permettre de travailler l’huile pour les industries. Une fonderie de ce type subsiste, il s’agit de la savonnerie Bernard. La particularité nantaise, par rapport au savon de Marseille, est d’utiliser de l’huile de palme à la place de l’huile d’olive. L’huile de baleine servira à entretenir les machines.
L’importation de sucre de cannedes Antilles va jouer un rôle important dans les activités portuaires : Les familles César, Cossé et Say vont marquer cette époque. Voir sucre Beghin Sayet encoreet toujours plus, Say
Nantes et le sucre . Cette activité représente 60 % des arrivées sur le port au 18esiècle. Aujourd’hui le pétrole correspond à 60 % des tonnages importés.
Avec le sucre produit il faut faire le lien avec les biscuits.
Le tabac
la régie française de tabac, la manufacture, fera travailler jusqu’à 1200 personnes. La SEITA s’installe à Carquefou en 1973.
Les activités locales
Le sucreet les raffineries vont créer des industries de transformation et des métiers nouveaux : bonbons, sucre en morceaux et en poudre.
Les bonbons Pinson sont une démonstration de la continuité et de l’adaptation au présent. Bravo et merci Eric . Quelques marques ou produits continuent d’exister: le berlingot nantais, et encore.
L’agriculture
De plus, en 1820 les nouvelles activités commerciales et industrielles liées au port imposent de nourrir la population qui devient importante et les équipages. Cela va stimuler les agriculteurs, les maraîchers et les viticulteurs.
La chimieva les aider ainsi que la mécanisation agricole.
Très rapidement, les conserves vont quitter le domaine maritime pour être dégustées au niveau national.
Les conserves
La proximité des Salorges évoque le sel, nous avons de l’eau pour les machines à vapeur – 1821 créations des Forges de Basse Indre – la pêche et les cultures maraîchères des environs. Les conservesvont apparaître. Nicolas Appert, Saupiquet, Saupiquet 2 ,
La fabrication des conserves alimentaires va faire de
Nantes une spécialité : Cassegrain en 2009 ,
Cassegrain famille, les Coquettes 1972, – Amieux 1
et de nombreuses autres firmes.
Nantes va devenir la capitale de la conserve
les produits alimentaires
l’industrie alimentaire Nantes va transformer le paysage des environs du centre ville.
De nombreuses autres entreprises sont citées:
Les métiers annexes
Tous ces progrès vont générer de nouveaux métiers : les ferblantiers qui fabriquent des boîtes de conserves en fer. Certaines industries fabriquent leurs boites elles-mêmes tel Lefèvre Utile mais la plupart les commandent chez Riom, Montataire, Carnaud et Basse Indre, etc.…
Les imprimeurs commencent à penser à la « réclame », à la » communication », à la publicié ( même si le mot n’existe pas à cette époque). Les supports imprimés vont naître et évoluer rapidement. Parfois la feuille de papier buvard que nous avons tous eu et collectionné, va être très éloignée de l’objet à vendre. Un support des marques vient de naître. Il y en aura d’autres : bol, boîte en fer, ciseaux, affiches, stylo, porte clef, etc….et encoreLa biscuiterie
Lefèvre -Utile va bâtir deux tours en face de la gare pour que l’image de son entreprise soit toujours présente. Nous sommes très éloignés du « pin’s » de ces dernières années… Voici son histoire. Les tours LU Famille Lefevre – Utile
Pour susciter la gourmandise, rien de tel que de séduire l’œil
Tout commença à Paris durant l’exposition universelle de 1900. Adossée au Trocadéro et face à la tour Eiffel s’élève une usine-palais sur pilotis. Louis Lefèvre-Utile, célèbre biscuitier nantais passionné d’architecture veut en faire le symbole d’une industrie puissante et florissante. Pour le fondateur, « susciter la gourmandise » est la clé de la réussite. Le pavillon Lu de l’exposition universelle, qui a la forme d’une tour surmontée d’un phare tournant, reçoit le Grand prix de la biscuiterie, récompense qui marque l’âge d’or du « Petit Lu » nantais.
Les tours du prestige
En 1905, le biscuitier se lance, au côté de l’architecte Auguste Bluyssen, dans la construction de deux tours massives face au château des Ducs de Bretagne et dans le prolongement des cours Saint Pierre et Saint André. La construction s’achève en 1909.
Trois parties composent ces tours. Le corps, formé d’une fenêtre à trois baies, est surplombé d’un ange brandissant une trompette. Le dôme, quant à lui, ouvert par six fenêtres, est décoré d’aigles sculptés, symboles de force et de prestige. Enfin la lanterne, prototype du phare Lu présenté à l’exposition universelle, est coiffée d’une flèche de métal qui culmine à 38 mètres de haut. Les nantais pourront en profiter pendant près de 35 ans avant que les bombardements de 1943 qui ravagent Nantes détruisent partiellement les tours. La première disparaîtra entièrement, l’autre conservera sa hauteur jusqu’à ce qu’elle soit décapitée lors de grands travaux en 1970.
Les biscuits vont devenir une vitrine de la ville.
Le premier train entre dans la ville en 1851. Les liaisons vont faciliter les déplacements et donc les affaires. En 1901 le train traverse la ville avec tout ce que cela implique en confort pour l’arrière pays mais en perturbations pour les riverains. La gare va situer le nouveau centre industriel.
Les industries lourdes.
L’aviation
Certaines industries ont vu l’évolution des progrès et ont imaginé des adaptations : agriculture, bateaux, avions. Louis Bréguet a été un précurseur dès 1935.
Louis Breguet bio Breguet , documents sur avions Breguet
Airbus en est le fruit.
Farman et ensuite, Aérospatiale 1, aéro 2, Nord aviation,
Ce sujet sera abordé prochainement lors de notre visite à Airbus.
sans oublier les moteurs, les machines:
Brissonneau et Lotz Productions BL
L’usine des Batignolles avec ses locomotives.
La finance
Le rôle de Nantes sur le plan boursier, bancaire
et financier n’est plus à démontrer. quelques grandes familles gèrent encore, en propre ou
en association, d’énormes capitaux de l’économie nationale.
la bourse à Nantes , Palais de la bourse Nantes
Les grandes écoles se sont adaptées
1846 institut polytechnique de l’Ouest , l’ENSM , Centrale
L’essor industriel du département provoque des
changements géographiques sensibles. Les cheminées et grues d’usine rivalisent désormais
avec les clochers et rythment les divers paysages. On aménage les rives de la Loire, l’architecture industrielle s’implante dans les quartiers, un nouvel habitat voit le jour pour fixer la main-d’œuvre à côté des sites de production.
Les territoires doivent s’adapter aux contraintes économiques nouvelles, nos hommes politiques doivent avoir une vision suffisamment vaste pour entrevoir le futur. Le train va élargir les possibilités d’implantation sur le territoire, les campagnes se désenclavent, le port de Saint-Nazaire qui se crée va donner naissance à une ville nouvelle, le territoire se trouve définitivement
transformé.
Les relations humaines
Il n’est pas inutile de rappeler le rôle de la Société industrielle de Nantes. Créée en 1830 sous l’influence des docteurs Bonamy et Guépin, cette association avait pour objectif la formation des ouvriers, leur accession aux soins et le développement de leur épargne . Dans ce cadre elle a mis en place une école d’apprentis et une caisse de prévoyance dès 1832. Elle marque le début d’une nouvelle forme d’entraide et d’organisation dans le monde du travail.
Quelques autres noms connusqui ont été cités pour avoir œuvrer pour la Région:
de la Brosse ,
Le 19 et 20eme siécles vont voir ces industriels développer leurs activités. Il y aura de nouvelles créations, des ententes, des fusions et des disparitions. Néanmoins, on peut constater que les productions régionales actuelles ont souvent germées dans le cerveau de nos ancètres locaux. Les domaines d’activités du XXI eme siècle étaient tracés .
De nombreuses entreprises du 18esiècle existent toujours et elles ont évolué. Elles ont su s’adapter et se positionner sur le terrain mondial. Ghislain a su souligner que nos activités actuelles ont un lien avec le passé. Il a fait le rapprochement avec nos visites précédentes et futures.
Les notions d’Ouest et Grand Ouest varient selon les entreprises et les prochaines années devraient laisser envisager un rapprochement entre la Bretagne et les Pays de Loire. Il faudra cependant régler la rivalité entre Nantes et Rennes qui perturberait les évolutions futures et trouver des leaders aussi créatifs, industrieux, visionnaires, que tous ceux que nous avons découverts aujourd’hui.
La visite s’est achevée par une dégustation du muscadet.
Sitôt après nous sommes allés déjeuner au restaurant Villa Flora.
Nous pouvons être fiers de notre patrimoine industriel.
Les créateurs de nos entreprises locales ont souvent été des visionnaires, des industriels avertis, des hommes responsables, humains et bons gestionnaires.
La matinée a été riche en évocation du passé, du présent. L’avenir va être encore plus passionnant(es).
PS : La tour Bretagne
Au début des années 60 le quartier du marchix est un lieu mal famé peuplé de vieux bâtiments en mauvais état. En 1964 le maire, André Morice, décide finalement de raser les derniers bâtiments qui subsistent afin d’y bâtir une tour.
Au départ le projet était ambitieux. En dehors du parking de six étages, il était prévu une galerie commerciale sur trois niveaux, un restaurant panoramique au sommet, une banque et même une station-service. Malheureusement, en raison des loyers trop élevés, la popularité de la tour, du quartier les clients se font rares. La terrasse est interdite d’accès après plusieurs suicides. Le restaurant ferme. Les 2 ha de surface habitable restent vides. La municipalité y installe alors divers services administratifs. Mal connu des nantais qui, excepté la présence du CCO depuis 1983, on peut dater à la visiter elle se révèle labyrinthique pour les curieux kilos de s’y aventurer. Souvent accusé de défigurer la ville, elle patiente en silence, en attendant peut-être le projet qui lui permettra enfin d’intégrer pleinement le cœur des habitants.
L’essentiel:
Tour Bretagne à Nantes
CCO
l’équipe
les 1000 de l’Ouest
la tour Bretagne
Tour
Nantes
Tour bretagne avec et sans la tour
Photos de la tour
Si vous avez le temps :
Amyot d’Inville





















Présentation de la rencontre

Pas de présentation.
Les groupes
- Groupe 0 (09:45) : 26 places disponibles sur 26
Informations complémentaires
- Aucun tarif renseigné pour le moment.
Date et lieu
Le 08/12 2009
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Les visites sont réservées aux membres de l'association.
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