Compte rendu de la visite

 

La cathédrale est certainement l’un des plus beaux monuments de la cité. Sa lumière intérieure et l’élancement de ses voûtes sont remarquables.

La première cathédrale date du second quart du VIe siècle mais elle fut incendiée par les Normands. La cathédrale actuelle – hormis la crypte romane qui date du XIe siècle – a été entreprise au XVe siècle.

Érigée au point haut de l’ancienne cité, la Cathédrale est le résultat d’une longue et complexe histoire qui s’étale pour l’installation, sur plusieurs siècles, et pour la construction, sur 457 années: sa nef flamboyante du XVe siècle, son transept sud du XVIIe siècle, son transept nord, son chœur et son abside de la seconde moitié du XIXe siècle.

Au fil des siècles, la cathédrale a été l’objet de multiples transformations jusqu’en 1972 où un terrible incendie détruisit toute la charpente. Heureusement, les voûtes gothiques résistèrent ce qui nous vaut de toujours pouvoir l’admirer.

Érigée au point haut de l’ancienne cité, la Cathédrale est le résultat d’une longue et complexe histoire qui s’étale pour l’installation, sur plusieurs siècles, et pour la construction, sur 457 années: sa nef flamboyante du XVe siècle, son transept sud du XVIIe siècle, son transept nord, son chœur et son abside de la seconde moitié du XIXe siècle.

Du premier oratoire à la cathédrale romane

La construction de l’édifice actuel (cinquième monument à occuper le site) commence véritablement en 1434. Les principales campagnes de travaux ont lieu au XVe siècle, au XVIIe siècle, puis entre 1836 et 1891 date de l’achèvement.

Le premier oratoire, bâti sur les lieux, fut créé par Saint-Clair au IIIe siècle sur l’emplacement d’un édifice construit par des druides pour le culte de Boi-Janus, et servant alors aux cérémonies religieuses des Kimri ou Bretons.

Un vaste sanctuaire fut édifié à partir de 516 par l’évêque Evheremus et fut terminé vers 567 – après avoir été consacré sous l’invocation de Saint-Pierre en 559 par l’évêque de Tours, Saint Euphrane – par son successeur Saint-Félix.

Pillée et détruite lors les invasions scandinaves, Alain Barbe-Torte en 940 trouve la cathédrale entourée de ronces. Guérech, évêque de Nantes et frère du comte Höel, relève le chevet de l’édifice par la suite. De la cathédrale romane, la partie orientale a subsisté jusqu’en 1838, et la croisée jusqu’en 1889. Une courte nef, de trois travées à bas-côtés, précède le transept et le chœur bordé d’un déambulatoire et de trois chapelles. De grandes arcades sur des piliers carrés sont surmontés d’un faux triforium et de hautes baies en plein-cintre. Des arcs doubleaux que soutiennent des pilastres, puis des coupoles sur pendentifs, cachent la charpente. Dans le chœur, une arcature aveugle s’intercale entre les arcades et les fenêtres. Sur la croisée s’élève une tour amortie par une flèche de bois, puis en pierre au XVe siècle.

Au XIIe siècle, un chœur est reconstruit au-dessus de la crypte de Guérech. Il est composé d’une courte travée couverte d’une coupole et d’un déambulatoire sur lequel s’ouvrent trois absidioles. La nef, sans doute pourvue de collatéraux, est couverte de trois coupoles. A la fin du XIIe siècle, le chœur est modifié et une tour carré – détruite en 1415 par un incendie – s’élève à la croisée du transept.

A la cathédrale romane, le duc Jean V substitue un nouvel édifice. Le 14 avril 1434, avec Jean de Malestroit, évêque de Nantes, il pose la première pierre de l’actuelle cathédrale gothique. On commence par le portail, la nef, puis le mur occidental du bras nord du transept. En 1520, le mur occidental sud est en majeure partie réalisée.

Le premier architecte fut Guillaume de Dommartin-sur-Yèvre, puis Mathelin (ou Mathurin) Rodier auquel succédèrent Jean Le Maître et Jacques Drouet. En 1457, la façade est a mi-hauteur. Au-dessus des portails, le tuffeau remplace le calcaire. A la fin du siècle, la construction des chapelles méridionales est entreprise. Celle du bas-côté nord apparaît en même temps que celle de la dernière chapelle du bas-côté sud et celle de la Madeleine achevée à partir de 1510. La reconstruction de la nef romane est entreprise et l’on voûte les bas-côtés, en finissant par celui du nord.

Au XVIIe siècle, on achève la nef par la voûte des nefs et le bras sud du transept. A partir de 1616, Prandeau construit un arc triomphal au-dessus de l’entrée du chœur, dans le passage de la nef gothique au chœur roman, achevé en 1887 et disparut depuis. En 1627, la nef reçoit ses voûtes. Le bras sud du transept est commencé en 1631. En 1657, Caris réunit les deux triforiums dans un croisillon unique par une galerie à balustres, et couvre, en 1658, d’un toit l’abside romane. En 1733, la crypte est arasée pour mettre le chœur au niveau de la nef.

Ravagée durant la Révolution, la nef est un temps transformée en arsenal, puis en écurie. Rouverte au culte le 14 août 1802, la cathédrale est peu à peu restaurée.
La cathédrale se présente alors comme l’imbrication de deux bâtiments, l’un roman, l’autre gothique. Les travaux reprennent en 1840.

Un nouveau bras nord et les trois premières travées du déambulatoire, puis l’abside, sont entrepris en 1840 par l’architecte départemental Saint-Félix Seheult qui à la suite d’un conflit avec l’entrepreneur est remplacé par l’architecte diocésien, Théodore Nau, qui continue le chœur et creuse de vastes cryptes achevées par son successeur Eugène Boismen. A partir de 1876, le vieux chœur roman est démoli pour la construction d’un chœur néogothique, sous la direction de Boismen. En 1886, Louis Sauvageot réalise la croisée du transept et remplace les piles romanes de la croisée en faisant disparaître l’ancienne tour romane plantée sur la croisée (dernier vestige de la cathédrale du XIIe siècle). Le 25 décembre 1861, Mgr Lecoq inaugure l’édifice.

Un peu d’architecture

Hautes de soixante-trois mètres, les tours de la Cathédrale encadrent la façade divisée en trois étages.

La nef,précédée d’un porche et flanquée de bas-côtés simples que bordent des chapelles, se compose de cinq travées de sorte que le transept occupe le centre de l’édifice. Un chœur, profond de trois travées, encadré de chapelles latérales se poursuit par une abside en pentagone, entourée d’un déambulatoire et de cinq chapelles rayonnantes. La nef, l’abside et le chœur présentent par travée trois étages.

Chaque pilier repose sur un socle octogonal de granit bleu,recevant la retombée des ogives. Les voûtes, de plan Barlong, sont plates. Dans chaque travée, le triforium se compose de trois baies en anse de panier. La première travée renferme la tribune de l’orgue qui repose sur une voûte -à liernes, tiercerons et clefs pendantes- soutenue par des colonnes garnies de chapiteaux corinthiens. Les voûtes des bas-côtés sont bombées et de plan carré. La croisée des ogives est ornée, au nord, de rosaces. Le carré du transept, dont les bras se composent de deux travées inégales de plan Barlong, est couvert d’ogives et liernes rayonnants autour d’un oculus. La baie méridionale est scindée par une galerie bordée de balustres qui continue le triforium gothique. Le chœur dispose de trois voûtes ornées de liernes longitudinales. Les voûtains de l’abside reposent sur six nervures rayonnantes. Les travées en trapèze du déambulatoire sont couvertes par des voûtes à cinq branches d’ogives. Une longue série de médaillons sculptés, aux pieds des piliers, sous la tribune de l’orgue décore la cathédrale jusqu’aux piédestaux de la porte Saint-Pierre. La crypte Saint-Gohard comprenait : une nef terminée en hémicycle, un martyrium recouvert de voûtes d’arêtes tombant sur quatre colonnes centrales et dix engagées. Un déambulatoire contourné ce martyrium.

Le portail, monté entre 1430 et 1480, est situé devant le porche de la nef romane. Sa composition, entre deux hautes tours, annonce la nef centrale et deux collatéraux. La façade a perdu de son décor sculpté. Les voussures des portails – sommés d’un gable – sont : au centre dédiée au Jugement dernier, celle de gauche à Saint-Pierre, celle de droite à Saint-Paul. Les portes latérales du nord au Enfants nantais, celles du sud à Saint-Yves Hélory.

L’architecture de la nefrévèle l’évolution du gothique à la fin du XVe siècle. Les piliers du bas-côté sud portent, à la retombée des arcs, des motifs végétaux en guise de chapiteaux. Dans la haute nef, les nervures montent des bases aux clefs de voûte. Le dallage de marbre polychrome date du XIXe siècle. Murs et colonnes sont en granit jusqu’à deux mètres de hauteur et, au-dessus, en tuffeau d’Anjou. Le décor de la nef se compose de trois étages avec : les grandes arcades en avant des bas-côtés et au-dessus les baies du triforium, rangées par trois. En haut se trouvent, les grandes verrières puis la voûte.

Le grand orgue commandé en 1619, fut augmenté et restauré par le facteur Lépine en 1768, puis par Cliquot en 1789. Les orgues du chœur datent de 1897. La haute fenêtre du bras sud du transept (l’aile de la croisée) montre une interprétation du fenestrage gothique par les architectes du XVIIe siècle.

Si l’ordonnance du monument est belle son contenu peut paraître modeste à l’exception du tombeau du dernier duc de Bretagne, François II, et de sa seconde femme Marguerite de Foix.Ce tombeau en marbre blanc de François II et Marguerite de Foix forme un massif rectangulaire, couvert par une table en marbre noir sur laquelle sont couchés les gisants.
Le tombeau, provenant du couvent des Carmes, fut implanté à la Restauration dans le bras sud du transept. Des petits anges veillent sur eux. Le lion et le lévrier sont couchés à leur pied. Quatre statues symbolisant la Force et la Justice, la Prudence et la Tempérance sont placés aux angles. Dessiné par Jean Perréal, il est exécuté par l’atelier de Michel Colombe (ou Columb).

Dans le bras opposé du transept, fait pendant, à partir de 1879, le cénotaphe du Général Louis-Juchault de Lamoricière (1806-1865), conçu par l’architecte Boitte et réalisé par les sculpteurs Masseron et Paul Dubois.
Le grand vitrail du transept sud est l’un des plus vastes de France avec ses 25 mètres de haut sur 5,30 de large.

Hautes de soixante-trois mètres, les tours de la Cathédrale encadrent la façade divisée en trois étages.Cinq portails, dont deux en retour, creusent à la base leurs ébrasements. Les contreforts qui les séparent montent au sommet. Les tympans sont ajourés, sauf pour le portail central. A l’angle sud-ouest de la façade, se trouve une chaire extérieure dégagée dans les années 1950. La façade centrale présente trois galeries superposées. Les deux premières encadrent deux baies en arc surbaissé, la seconde et la troisième une verrière à remplage flamboyant. Les angles des tours sont accusés par des contreforts amortis par des pinacles. La nef est épaulée par des arcs-boutants à double volée. Les façades du transept sont emplies de verrières. La façade nord du XIXe n’est pas terminée. Au chevet, les arcs boutants sont à simple volée.

Bombardée le 15 juin 1944par des torpilles qui atteignent le déambulatoire et la sacristie, la Cathédrale a été grièvement sinistrée par un incendie qui a ravagé la charpente le 28 janvier 1972.

Engagés en 1973, les travaux de restauration ont permis une restauration remarquable,notamment de la façade aspectant la place Saint-Pierre.  Et depuis fin septembre 2008, la façade de la cathédrale est libre de tout échafaudage.

 

 

Chapelle de l’Oratoire

Elle a été ouverte le 27 janvier 1665.

Jusqu’en 1650, les Oratoriens n’avaient à leur disposition qu’une modeste chapelle aménagée dans l’une des salles de leur maison. La prise de possession par eux du collège de Saint-Clément leur donnait jouissance de la chapelle Saint-Marc, annexée à cet établissement, mais insuffisant.

Très belle façade faite de pierres de tuffeau, l’oratoire a été édifié au XVII siècle. Les Oratoriens constituaient un ordre religieux ayant pour but l’éducation de la jeunesse. Parmi les ornements architecturaux divers, on remarque un fronton curviligne supporté par 2 coquilles ayant contenues 2 statues.

On compte 6 anges rappelant l’époque de la Contre Réforme.

Lors du XVIII° siècle, sous les ordres de CEINERAY, la chapelle se vit accoler deux immeubles, perdant de ce fait son charme et celui de son chevet se trouvant désormais caché.

 

Nantes

L’Antiquité

Si le tracé de l’enceinte est restituable – visible au nord du chevet de la cathédrale, dans la cour de l’école Saint-Pierre, et dans la tour des Jacobins – la ville, mentionnée dans la table de Peutinger sous le nom de Portus Namnetum (385), n’a guère livré d’indices sur la présence romaine. Autant les fouilles menées rive gauche, sur la commune de Rezé, attestent la présence d’un port important au IIe siècle, autant la rive droite reste muette sur la période.

Le Moyen Age

L’arrivée de la Cour ducale à Nantes, près de trente ans après l’ouverture du chantier de la cathédrale, induit un vaste programme de constructions : le château, la fortification des portes de Saint-Nicolas, Sauvetout et Saint-Pierre et de nombreux logis. La Bretagne fournit le granit, l’Anjou letufeau. On assiste à la démolition progressive de la cathédrale romane sous la poussée gothique du nouvel édifice décidé par le duc Jean V en 1434. Le parti d’origine, maintenu malgré le temps de la réalisation, plus de 450 années jusqu’à l’achèvement du chevet (1891), a garanti la grande qualité de l’ensemble. La crypte romane abrite le trésor. Oeuvre de transition, conjuguant art militaire et architecture de plaisance, le château oppose à la ville ses puissantes tours de granit et de schiste. Ouverte sur la cour, la tour de la Couronne d’Or avec ses deux étages de loggiasitalianisantes articule gracieusement les deux corps de logis de la dernière résidence ducale. Le « petit Gouvernement » confirme l’apport de la Renaissance. Le manoir bâti sur la porte Saint-Pierre, la Psalette, l’hôtel Saint-Aignan, l’hôtellerie des Jacobins, témoignent de la période. Quelques maisons à pan-de-bois subsistent rue de Verdun, Juiverie, Baclerie et Bossuet.

La Renaissance

Si le souffle de la Renaissance devient plus ténu près de l’estuaire, les traces conservées laissent penser qu’il y eût une architecture religieuse remarquable associée à la collégiale Notre-Dame et à l’église des Cordeliers. Les artistes ne manquaient pas de modèles : dès 1507, on pouvait admirer dans la chapelle des Carmes, le tombeau commandé par la duchesse Anne pour son père, à l’architecte et peintre Jean Perréal. Ce chef d’oeuvre de marbre dû aux tailleurs d’images italiens et français de l’atelier de Michel Colombe se trouve aujourd’hui dans la cathédrale.

Les XVII et XVIIIeme siècles

Des couvents et un collège d’Oratoriens hors les murs, la reconstruction d’églises, l’extension de l’hôtel de ville (1606), des hôtels particuliers, telle est l’expression de la Contre-Réforme. La chapelle de l’Oratoire (1665), malgré l’ajout d’un perron, est l’édifice dont la façade exprime le mieux l’art religieux de la période, l’église Sainte-Croix (1684) ayant été surélevée d’un étage, en 1860, pour porter le beffroi de la ville. Sur l’axe hôtel de ville, place du Pilori, Château, citons rapidement les hôtels de Rosmadec et Monti (annexés à l’hôtel de ville en 1920), l’hôtel de Goulaine, l’hôtel de l’Isle du Fief (14, 3, rue du Château). Au début du XVIIIe siècle, l’activité portuaire croissante appelle la construction d’entrepôts et de logements. Les architectes répondent par des immeubles de granit et de tufeau de deux à trois étages, déclinant magasins et boutiques,

bureaux à l’entresol, un, voire deux appartements par étage. La pierre et le fer rivalisent en façade dans l’île Feydeau, de la Bourse au quai de la Fosse et place du Pilori. La seconde moitié du siècle pense l’espace urbain. La césure entre la ville ancienne et le port tombe en même temps que les murailles. L’architecte Ceineray y impose un modèle de façade ordonnancée diversement décliné de l’allée Brancas au château et de part et d’autre du cours Saint-André. L’architecture monumentale – la Chambre des comptes (préfecture), la Bourse, le Théâtre Graslin – commande le réseau, des places à programme et des promenades. La ville néo-classique portée par l’architecte Crucy et le financier Graslin s’installe sur les pentes de la Fosse. Le passage Pommeraye validera en 1841 la vocation du quartier.

Le XIX eme siècle

 

La ville s’étire par voie de lotissements vers l’estuaire jusqu’à la place Mellinet nouvellement dessinée. Seheult et Chenantais, auteurs du palais de justice (1845), privilégient à l’emplacement de l’hôpital général du Sanitat, les références classiques pour la reconstruction de l’église Notre-Dame-de-Bon-Port. Les architectes de l’église Saint-Nicolas (Piel-Lassus,1843) affichent, eux, leurs convictions gothiques dans la ville ancienne. De la fontaine de la place Royale jaillissent les préoccupations hygiénistes des édiles : Nantes commande la Loire et ses affluents. L’architecte de la ville Driollet présente un projet de onze percées dont on retient la traverse de la route de Rennes à Bordeaux (rue de Strasbourg) et la création d’une place régulière devant la cathédrale (1868). La démesure pénètre le coeur de la ville à l’image des édifices publics ou industriels comme la manufacture des tabacs (1857) ou le musée des Beaux-Arts (1893). Un front industriel s’élève sur la rive nord des îles, de l’usine LU aux chantiers navals.

Le XXeme siècle

Prise en 1926, la décision de détourner l’Erdre sous le cours Saint-André et de combler les deux bras de Loire enserrant l’île Feydeau augure un demi siècle de questionnement architectural, dont témoignent les aménagements récents proposés par l’équipe Fortier, Rota et Bloch, autour de l’île et cours des Cinquante Otages. Les architectes de la Reconstruction injectent une toute autre échelle dans le quartier du Calvaire et de la Marne. Ailleurs, le parti de Roux-Spitz a été celui d’une intervention modérée avec reconstruction à l’identique des façades remarquables, place Royale, Bourse, allée Brancas… De la butte Sainte-Anne, on peut apercevoir, sur la rive sud, un immeuble contemporain construit par Le Corbusier. En amont de l’île Beaulieu, la construction de bureaux, logements, édifices publics et religieux (Hôtel de Région,1985, couvent de Carmes, 1995 ) annonçait la restructuration du quartier Madeleine-Champs-de-Mars (palais des Congrès) et anticipait la reconversion de la pointe aval de l’île dite aujourd’hui Sainte-Anne. Le bâtiment de la direction des chantiers navals, les cales de lancement des navires ont été retenus pour attester l’activité industrielle du site. Le nouveau palais de justice (Jean Nouvel, 1999) donne le ton souhaité du futur aménagement.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Les explications sur l’Oratoirenous en mis en bouche pour le gros œuvre…les défenses de Nantes, les remparts, la tour St Pierre et enfin la Cathédrale.

 

Les portails, l’ensemble, les orgues, la hauteur imposante des lieux, le tombeau de François II,l’incendie, le cénotaphe du général de la Moricière.

 

 

quelques liens :

 

visite rapide: http://nantescathedrale.free.fr/resume.htm

cathédrale   :  http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Saint-Pierre_de_Nantes

 

Un excellent déjeuner au Pont Levis  a permis aux 25 participants de commenter les beautés de la Cathédrale  et de mesurer le chemin pour découvrir  toutes les merveilles nantaises.  Merci PASSION’NANTES.

Présentation de la rencontre

Seconde réunion des Passionnés

 

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Les groupes

  • Groupe 0 (10:00) : 25 places disponibles sur 25

Informations complémentaires

  • Tarifs :
    • 30 € pour 1 personne

Date et lieu

Le 12/05 2009

7 Impasse Saint-Laurent, 44000 Nantes, France

Prochaines rencontres

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Nous aurons le plaisir de nous retrouver autour d'un grand barbecue voir méchoui chez notre ami Guillaume Libaudière aux Montys à Hte Goulaine. Notez cette date en attendant d'autre informations.